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Mercredi dernier, 19 février, j'ai visité l'exposition en cours au Musée de l'Hermitage à Lausanne: "Le Goût de Diderot".
J'ai été singulièrement touché par deux tableaux de Joseph-Marie Vien (1716-1809).
Le premier, "La Marchande d'amours" (ci-dessous) daté de 1763, mais exposé à l'Hermitage dans une version eau-forte gravée par Jacques Beauvarlet (1731-1797). Le deuxième (plus bas), "L'amour fuyant l'esclavage" daté de 1789.
Vous apprécierez certainement vous-même le style néo-classique précurseur de Vien en visitant cette belle exposition. Mais surtout, ne manquez pas de lire la critique de Diderot qui accompagne chacune des œuvres exposées.
Mercredi dernier, 19 février, j'ai visité l'exposition en cours au Musée de l'Hermitage à Lausanne: "Le Goût de Diderot".
J'ai été singulièrement touché par deux tableaux de Joseph-Marie Vien (1716-1809).
Le premier, "La Marchande d'amours" (ci-dessous) daté de 1763, mais exposé à l'Hermitage dans une version eau-forte gravée par Jacques Beauvarlet (1731-1797). Le deuxième (plus bas), "L'amour fuyant l'esclavage" daté de 1789.
Vous apprécierez certainement vous-même le style néo-classique précurseur de Vien en visitant cette belle exposition. Mais surtout, ne manquez pas de lire la critique de Diderot qui accompagne chacune des œuvres exposées.
La Marchande d'amours
L'amour fuyant l'esclavage
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