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En fouillant dans mes archives photos, à la recherche d'une image de l'église Santa Maria Assunta de Chiggiogna, je suis tombé par hasard sur celle d'une fresque peinte à l'intérieur de l'église sur la paroi latérale droite, et représentant les quelques instants qui ont suivi l'accouchement de Marie.
On y voit Jésus nouveau-né parfaitement ensaucissonné dans une bande Velpo stérile dans les bras d'une sage-femme, probablement cheffe de clinique à la maternité de Bethléem (en territoires occupés... par les Romains). [Un petit coucou à Louis, au passage, né dans les mêmes conditions 2010 années plus tard.]
Notez les cheveux roux du personnel soignant. Ce devait être obligatoire à l'époque de Jésus. On n'engageait que les vraies rousses.
Cette représentation anonyme m'a immédiatement rappelé les blogs postés le 3 décembre 2010 et le 4 décembre 2010 pour illustrer la méthode sévère de conservation qu'on voulait infliger à Chiara - elle aussi fraîche nouveau-née à l'époque.
En fouillant dans mes archives photos, à la recherche d'une image de l'église Santa Maria Assunta de Chiggiogna, je suis tombé par hasard sur celle d'une fresque peinte à l'intérieur de l'église sur la paroi latérale droite, et représentant les quelques instants qui ont suivi l'accouchement de Marie.
On y voit Jésus nouveau-né parfaitement ensaucissonné dans une bande Velpo stérile dans les bras d'une sage-femme, probablement cheffe de clinique à la maternité de Bethléem (en territoires occupés... par les Romains). [Un petit coucou à Louis, au passage, né dans les mêmes conditions 2010 années plus tard.]
Notez les cheveux roux du personnel soignant. Ce devait être obligatoire à l'époque de Jésus. On n'engageait que les vraies rousses.
Cette représentation anonyme m'a immédiatement rappelé les blogs postés le 3 décembre 2010 et le 4 décembre 2010 pour illustrer la méthode sévère de conservation qu'on voulait infliger à Chiara - elle aussi fraîche nouveau-née à l'époque.
Cher G, je lis ce post un peu tard… on n'a pas fagoté Louis mais cela m'aurait bien plu. Ca facilite bien le transport, même aujourd'hui, sur le chemin de l'école... Laissé libre de ses mouvements, l'olibrius freine des quatre fers, déclare soudain devoir entrer dans telle quincaillerie ou telle pharmacie, dans l'espoir de se voir offrir un bonbon - quand il ne prend pas tout simplement la poudre d'escampette pour jouir du plaisir pur de la course, sur des passages piétons que personne ne respecte.
RépondreSupprimerUn grand abbraccio de Rome P,S,L et A